Les températures ont été nettement inférieures à la normale du 3 au 5 puis les 13 et 14 sur la majeure partie du pays avec de nombreuses gelées au petit matin. En mai, dans l'air froid dominant, plusieurs épisodes de neige tardive se sont produits en altitude sur les massifs jusqu'en toute fin de mois. L'ensoleillement annuel, généralement proche de la normale** sur le sud de la France, a été excédentaire de plus de 10 % sur une grande partie de la moitié nord ainsi que sur le Massif central. Après une période de douceur du 15 au 25, le mercure a de nouveau chuté en dessous des valeurs de saison. Malgré quelques périodes très fraîches notamment en janvier, la France n'a pas connu de réel pic de froid durant cet hiver. Déficitaire depuis le début de l'année, la pluviométrie a été fortement excédentaire en octobre et novembre. Les températures ont affiché en moyenne 1 à 4 °C de plus que la normale du 1er au 4 puis du 22 au 30. Par ailleurs, sur la période novembre-décembre, les vents forts se sont accompagnés de pluies fréquentes et souvent abondantes avec des cumuls généralement excédentaires de plus 50 %. 1. Les nombreux passages pluvieux ont souvent donné des cumuls conséquents. En moyenne sur le mois et sur le pays, la température maximale a dépassé la normale de 4,1 °C plaçant ce mois de février au second rang derrière février 1990 (+4,8 °C). Il a été généralement conforme à la saison sur le reste du pays. En revanche, de violents orages se sont accompagnés de pluies intenses, notamment en Corse et en Auvergne - Rhône-Alpes. La sécheresse des sols superficiels déjà présente du Nord-Est au Massif central s'est étendue au sud de la France. Sur la moitié nord du pays, les passages perturbés ont été assez peu actifs mais se sont souvent accompagnés de neige. L'excédent a souvent été compris entre 20 et 50 % du Cotentin et des Côtes-d'Armor au Poitou et au nord de la Bourgogne, sur le Grand-Est ainsi que dans le centre d'Auvergne - Rhône-Alpes. L'excédent qui a dépassé 10 % de la frontière belge aux Pays de la Loire ainsi que sur la côte orientale de l'île de Beauté a atteint 20 à 30 % de la Normandie au Bassin parisien. Le déficit souvent compris entre 40 et 70 % au sud de la Garonne, a dépassé 80 %, du Roussillon à la Côte d'Azur et sur la majeure partie de l'île de Beauté. Le 15 juillet 2019, la Corse a été touchée par de violents orages et des pluies localement diluviennes. Le soleil a été généreux sur la majeure partie du pays. Sur les Alpes-Maritimes, avec un cumul mensuel moyen supérieur à 180 mm, l'excédent a dépassé 70 %. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 11,7 °C a été supérieure à la normale de 0,6 °C. La pluviométrie a été très contrastée. Durant ce mois de novembre, le temps a été très perturbé. Le soleil a brillé autant à Dinard (Ille-et-Vilaine) avec 240 heures qu'à Nice (Alpes-Maritimes) avec 237 heures. 2019 août 2019 sept. 2019 oct. 2019 nov. 2019 dec. 2019 Année complète; Tempé. Le déficit a même dépassé 60 % sur le Dijonnais, du Pays de Caux à l'intérieur du Pas-de-Calais, dans le centre de l'Auvergne ainsi que de la moyenne vallée du Rhône à la Provence. Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 23,0 °C a été supérieure à la normale de 2,2 °C, classant juillet 2019 au 4e rang des mois de juillet les plus chauds, derrière les mois de juillet 2006 (+3,6 °C), 1983 (+2,6 °C) et 2018 (+2,4 °C). Les cumuls de précipitations ont été déficitaires de 20 à 50 % sur les côtes de la Manche, de l'Orléanais au nord de l'Auvergne, en vallée du Rhône et autour du golfe du Lion. Le printemps a débuté en mars dans une grande douceur. Critère de classement Année de classement Hauteur des précipitations (en mm) en 2019. L'excédent a atteint une fois et demie à deux fois et demie la normale sur un vaste quart nord-ouest, le sud du Massif central et la Corse, deux à trois fois et demie sur le Sud-Ouest ainsi que de la moyenne vallée du Rhône à l'est du Gard et à la région PACA. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 8 °C a été supérieure à la normale de 2,2 °C. Ces archives Météo sont totalement libres d'accès et gratuites. 11 avril 2019 - Précipitations. Sur le sud du pays, les températures souvent très fraîches la nuit, ont grimpé en journée à la faveur d'un bel ensoleillement. La pluviométrie a été très contrastée. Sur le reste du pays, elles ont été généralement 1 à 2 °C au-dessus des valeurs de saison, voire localement plus sur l'ouest de la Corse où des records de douceur ont été enregistrés avec une moyenne mensuelle voisine de 23 °C. L'excédent a atteint 20 % sur le Centre-Val de Loire ainsi que plus localement sur les Ardennes et l'Alsace avec 2 177 heures de soleil à Colmar (Haut-Rhin), valeur supérieure à celle enregistrée à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) avec 2 051 heures. Des perturbations actives et parfois tempétueuses se sont succédé sur une grande partie du pays, épargnant toutefois le Sud-Est. Les régions méditerranéennes ont été peu arrosées, hormis lors d'un épisode pluvio-orageux localement intense sur le Languedoc-Roussillon et la Corse le 21. Parc Astérix en Île-de-France en juin 2019. Suivi; 3. Dans quels départements de France y a-t-il eu le plus de pluie en 2019 ? maxi extrême: 12,6 le 13: 22,6 le 27 !! Sur l'ensemble de la saison, l'ensoleillement, proche de la normale de la Bourgogne au golfe du Lion et en Corse, a souvent été légèrement déficitaire sur le reste du pays. Suite à un dernier trimestre 2019 très pluvieux, la façade ouest de l'Hexagone, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Corse ont été bien arrosées avec un excédent de 10 à … Un déficit globalement compris entre 10 et 20% sur ces régions, localement jusqu'à 30% entre Alsace, Lorraine et Franche-Comté. En fin de mois, des perturbations se sont succédé sur l'ensemble du pays accompagnées d'une chute des températures et du retour de la neige sur les massifs avant de laisser place à une accalmie très temporaire le 30. Les quantités de pluie relevées ont été abondantes voire exceptionnelles en Aquitaine et en Corse. En savoir plus sur notre politique de confidentialité. Plusieurs épisodes méditerranéens intenses ont généré des pluies diluviennes sur le Sud-Est et la Corse, en octobre et en novembre. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 10,1 °C a été supérieure à la normale de 1,4 °C. La pluie n'est pas tombée en abondance sur la Creuse depuis le début de cette année. 2019 août 2019 sept. 2019 oct. 2019 nov. 2019 dec. 2019 Année complète; Tempé. Les températures minimales sont restées douces, en moyenne supérieures à la normale de 2 °C. En seconde partie de mois, plusieurs épisodes méditerranéens ont affecté les régions méridionales dont un particulièrement intense du 19 au 24 avec des pluies diluviennes sur le Languedoc-Roussillon les 22 et 23 (lien vers actu du 25 octobre). Les passages pluvieux ont été peu fréquents excepté sur les régions bordant la Manche et le plus souvent peu actifs. Les gelées ont été très rares tant en plaine qu'en altitude. Le déficit a localement dépassé 60 % en Normandie, sur le sud de l'Aquitaine, l'Occitanie, la région PACA, la Corse ainsi que plus généralement sur la région Auvergne - Rhône-Alpes. Les cumuls de pluie ont été plus conformes à la saison sur un petit quart nord-est du pays. Bulletin de situation hydrologique de juillet 2019. connexion / inscription ... 2019 fev. Des températures maximales particulièrement chaudes ont été relevées du 25 au 28 du Centre-Val de Loire au Nord-Est et à l'Auvergne avec plus de 30 °C, puis du 29 au 31 sur les régions méditerranéennes avec des valeurs proches de 35 °C. Les chiffres suivants proviennent des données météorologiques nationales en libre accès, fournies par Météo France, pour le département de la Creuse (pour l'année 2018).Ces données représentent une moyenne pour le département, elles peuvent varier sensiblement selon les reliefs (différence nord-sud pour la Creuse, par exemple). En mai, elles ont été inférieures aux normales sur l'ensemble du pays avec de fortes gelées très tardives en début de mois. Généralement très douces jusqu'au 17, les températures ont ensuite été plus contrastées avec parfois de fortes amplitudes thermiques entre les minimales et les maximales. La pluviométrie a été, en moyenne sur la France et sur le mois, conforme à la normale mais géographiquement très contrastée. De septembre à décembre, les régions méridionales ont été frappées par de violents épisodes méditerranéens accompagnés de pluies intenses qui ont généré des crues et des inondations localement dévastatrices, notamment dans l'Hérault, le Var, les Alpes-Maritimes et la Corse. Suite à un dernier trimestre 2019 très pluvieux, la façade ouest de l'Hexagone, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Corse ont été bien arrosées avec un excédent de 10 à 40 %, voire localement plus sur la Côte d'Azur. Il se place derrière novembre 1996 (188mm), 2000 (176mm) et 2002 (172mm). 2019 mai 2019 juin 2019 juil. À Rouen (Seine-Maritime), il a atteint 70 % avec seulement 18 heures d'ensoleillement. 2019 mars 2019 avr. Hormis en début et toute fin de mois, les températures ont souvent affiché en moyenne 2 à parfois 7 °C de plus que la normale. La tempête Amélie qui a balayé la moitié sud du pays le 3 novembre a été d'une intensité assez remarquable pour un mois de novembre. Les hauteurs maximales de neige relevées durant l'épisode ont atteint 10 à 15 cm en plaine et à basse altitude avec 11 cm sur l'aérodrome de Saint-Étienne (Loire), 15 cm sur l'aéroport de Lyon (Rhône), voire localement plus avec 21 cm sur l'aéroport de Grenoble-Saint-Geoirs (Isère) ou 32 cm au col de Rossatières (Isère - Alt. La pluviométrie a été déficitaire de plus de 30 % sur la majeure partie du territoire. Ainsi, l'été 2019 s'est classé au 3e rang des plus chauds derrière 2003 et 2018. Cartes pluviométriques Recherche par départements et régions. En revanche, à la faveur de l'ensoleillement exceptionnel, la France a connu un pic de douceur hivernale historique en seconde partie de mois. Sur ces régions, l'excédent a souvent dépassé 20 %. Des conditions anticycloniques se sont installées sur la moitié nord du pays jusqu'au 22 avec des températures quasi estivales tandis que le Sud est resté sous l'influence de remontées méditerranéennes parfois intenses et orageuses. (Cliquer sur les graphiques pour les agrandir), Télécharger le bilan climatique complet de l'année 2019 en pdf (2792,9ko), (Cliquer sur les cartes pour les agrandir), (Cliquer sur les images pour les agrandir). L'excédent a souvent été compris entre 20 et 50 %. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 13,9 °C a été inférieure à la normale de 1,1 °C. Malgré un mois de janvier conforme à la saison, l'hiver 2018-2019 se classe parmi les 10 hivers les plus doux depuis le début du XXe siècle. L'excédent a atteint 20 à 30 % ponctuellement dans le Grand-Est et en Bourgogne - Franche-Comté et plus généralement sur le sud de l'Auvergne. Le soleil a ainsi brillé 275 heures à Charleville-Mézières (Ardennes) et 311 heures à Colmar (Haut-Rhin) mais seulement 161 heures à Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor). A l'inverse, la pluviométrie s'est montrée déficitaire dans l'Est et surtout le Nord-Est de la France. Les informations recueillies sont destinées à CCM Benchmark Group pour vous assurer l'envoi de votre newsletter. La tempête Amélie a soufflé violemment le 2 sur le Nord-Ouest, puis le 3 sur le littoral atlantique et la moitié sud du pays. Lors de la tempête Fabien, le 21, on a relevé 141 km/h à Bordeaux (Gironde) et le 22 les vents ont dépassé 120 km/h sur 50 % de la surface de la Corse, avec 205 km/h à Cagnano et 170 km/h à Bastia (Haute-Corse). La température moyenne de 6,7 °C sur la France et sur la saison a été supérieure à la normale de 1,3 °C. Grosso modo, la météo en juin 2019 au Parc Astérix en Île-de-France a été très défavorable. Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 8,1 °C a été supérieure à la normale de 2,4 °C, plaçant ce mois de décembre au 5e rang des mois de décembre les plus chauds depuis 1900, loin derrière décembre 2015 (+3,9 °C). Le Gers n’a pas été épargné par les changements de temps durant les deux derniers mois de l’année 2019. Toutefois, sur le mois, le nombre de jours de gel reste inférieur à la normale. 2019 août 2019 sept. 2019 oct. 2019 nov. 2019 dec. 2019 Année complète; Tempé. Graphique Météo-France En revanche, après un mois de mars très sec, plusieurs épisodes pluvieux intenses et parfois orageux ont concerné les régions méridionales où les températures ont été à peine de saison. En moyenne sur la France, la pluviométrie a été déficitaire de plus de 10 %. Températures extrêmes et pluviométrie En moyenne sur l'hiver, l'excédent a souvent dépassé 20 % sur le nord et l'est du pays. dimanche 3 novembre 2019 Comme lors de chaque première semaine du mois, voici votre bilan cartographié du mois écoulé (température, pluviométrie, ensoleillement sur un panel de 73 stations *). Des records de cumuls de pluie ont été battus tous mois confondus avec notamment 246,4 mm à Lanvéoc (Finistère - ouvert en 1948), 284,3 mm à Ajaccio (Corse-du-Sud - ouvert en 1949), 531,5 mm à Cambo-les-Bains (Pyrénées-Atlantiques - ouvert en 1964) et 534 mm à Saint-Martin-de-Hinx (Landes - ouvert en 1984). Hormis une période de fraîcheur assez marquée durant la première quinzaine de juin et quelques refroidissements ponctuels au mois d'août, les températures sont le plus souvent restées supérieures aux normales. Février 2019 a été peu arrosé pour la saison avec des précipitations déficitaires sur la quasi-totalité du pays. Les prévisions de Météo-France Réunion, réalisées tous les jours depuis le centre du Chaudron à Saint-Denis, vous permettront de trouver la ville où les conditions météos seront les meilleures pour vos visites, vos randonnées ou tout simplement pour un peu de farniente sur une des belles plages de l'île Bourbon (ancien nom de l'ile). Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 20,1 °C a été supérieure à la normale de 1,8 °C, classant juin 2019 au 5e rang des mois de juin les plus chauds, toutefois loin derrière juin 2003 (+4,1 °C). Seule la Corse a présenté un net déficit, de plus de 50 % en Corse-du-Sud. Ce déficit associé aux fortes températures a ainsi contribué à un assèchement important des sols superficiels. Publié le 02/05/2019 . Pluviométrie selon le mois Le mois le plus pluvieux ou le plus sec de l’année n’est pas toujours celui que l’on croit Une étude plus approfondie des régimes pluviométriques, en particulier la répartition des pluies selon les saisons ou les mois, permet de mieux traduire les nuances entre les différents climats. En moyenne sur la saison et sur la France, la température de 14,1 °C a été supérieure à la normale de 1 °C, plaçant l'automne 2019 au 6e rang des automnes les plus chauds depuis 1900, loin derrière 2006 (+2,4 °C). Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 21,8 °C a été supérieure à la normale de 1,2 °C, classant août 2019 parmi les 10 mois d'août les plus chauds depuis 1900, loin derrière août 2003 (+4,2 °C). Et Lille n'arrive qu'en vingtième position. La pluviométrie a été déficitaire sur une grande partie de l'Hexagone, généralement de 20 à 50 %. Critère de classement Année de classement Hauteur des précipitations (en mm) en 2019. Durant la période de recharge de septembre 2018 à mars 2019, la pluviométrie a été déficitaire en moyenne de 20 % sur la France. Sur la moitié nord en revanche où les nuages ont dominé, les minimales ont été le plus souvent supérieures aux normales. Les températures, souvent inférieures aux normales durant la première quinzaine, ont été en moyenne 4 à 8 °C au-dessus, du 25 au 30 durant une vague de chaleur précoce d'une intensité exceptionnelle. À l'inverse, sur le sud de la Bretagne et de Midi-Pyrénées, ainsi que sur le Haut-Rhin, les cumuls de pluie ont atteint une à localement deux fois la normale. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été excédentaire de près de 50 %. Bilan global de l'année hydrologique (septembre 2018 à août 2019) Au cours de cette année hydrologique 2018-2019, le cumul de précipitations a été déficitaire de près de 20 % en moyenne sur la France. Pluviométrie annuelle moyenne Les graphiques ci-dessous permettent de comparer les régimes pluviométriques de 6 secteurs avec une pluviométrie annuelle moyenne. Ils ont souvent été violents s'accompagnant de, 2019 : au 3e rang des années les plus chaudes en France depuis le début du XXe siècle, Événements météorologiques majeurs de l'année 2019, Hiver 2018-2019 : bilan de l'enneigement dans les massifs français, Projections climatiques : passer du global au local, Impacts du changement climatique sur les phénomènes hydrométéorologiques, Mieux comprendre les phénomènes atmosphériques. Durant la première quinzaine, le temps a été assez frais et perturbé sur une grande partie de la France. Ils ont été moins nombreux mais particulièrement intenses sur le pourtour méditerranéen. Les nuits très étoilées se sont souvent accompagnées de gelées. En moyenne sur le mois et sur le pays, la température de 4,6 °C a été inférieure à la normale de 0,3 °C. Les 17 et 19, les maximales ont été par endroits plus de 10 °C au-dessus des valeurs de saison de Rhône-Alpes et de l'Allier à la Lorraine. Douceur et fraîcheur ont alterné tout au long du mois. À partir de juin, les sols du pourtour méditerranéen de l'Aude à l'Ardèche et au Var ainsi que sur le sud des Alpes se sont également nettement asséchés. Les villes les plus pluvieuses de France en 2019. Eau et milieux aquatiques. Le déficit a localement dépassé 10 % sur un large quart nord-ouest. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire. Pluviométrie annuelle moyenne de référence à Vichy sur la période 1961-1990: 790.3 mm (source infoclimat) Comparaison des années 2020 et 2019 Afficher tableau - Afficher graphiques dynamiques (plus … En moyenne, sur le Nord-Ouest, les températures ont été par endroits plus de 1 °C au-dessus de la normale tandis que sur le pourtour méditerranéen et le piémont pyrénéen, elles ont été à peine de saison. L'ensoleillement a été proche de la normale sur le Sud-Ouest, du Languedoc-Roussillon aux Alpes ainsi que sur le nord du littoral atlantique. La France : Historique Météo. À l'instar de février, le mois de mars a débuté avec un temps très agité. Tous les mois, décembre 2018 excepté, ont connu des cumuls de pluie inférieurs à la normale. Puis, du 21 au 26 juillet, le mercure a souvent dépassé 40 °C sur la moitié nord du pays et de très nombreux records absolus ont été battus. Infoclimat, la météo en France en temps réel - Weather in realtime Europe, Canada. En Corse, les vents dépassant 140 km/h ont soufflé sur près de 60 % de la surface de l'île. En tout début de mois, il a neigé sur les massifs et jusqu'en plaine sur le flanc est les 3 et 4. Sur le sud du Centre-Val de … Il a été excédentaire sur le reste du pays. Dans la même rubrique; La pluviométrie (ou mesure des volumes de précipitations), complétée de la nivologie (étude de la neige), varie dans le temps et dans l’espace. Les températures ont été le plus souvent supérieures aux normales hormis en milieu de mois. Ponctuellement, l'ensoleillement a dépassé la normale de plus de 60 % en Touraine et Lorraine. Le cumul annuel de précipitations a été plus conforme à la normale sur le reste du pays, hormis de la Lorraine au nord de l'Auvergne ainsi qu'en Languedoc-Roussillon où le déficit a souvent atteint 10 à 30 %, voire localement plus sur le Gard et l'Hérault. Découvrez sur ce site l'Historique Météo en France de 2009 à l'année en cours. Les perturbations ont été fréquentes et assez actives sur la moitié nord du pays. L'ensoleillement a été excédentaire sur l'ensemble du pays. L'année 2018 avait déjà été marquée par une sécheresse sévère à l'automne. Sur les régions méridionales, les pluies ont été peu fréquentes et peu abondantes, voire quasi absentes sur le pourtour méditerranéen et le sud de la Corse. Les passages pluvieux ont été fréquents avec des précipitations abondantes notamment sur le Sud-Ouest les 12 et 13, sur les Cévennes du 17 au 19 ainsi que sur la région PACA avec deux épisodes méditerranéens intenses les 1er et 20, provoquant des inondations. De la Haute-Loire au Rhône, on a souvent recueilli sous les orages une fois et demie à deux fois la normale, ponctuellement deux à trois fois.